Mari Peña

chanteuse de flamenco yeux fermés mains tendues
©RTVA - FOTOGRAFÍAS CANAL SUR RADIO y TELEVISION

Chanteuse issue de la famille « De la Buena », famille gitane de tradition flamenca d’Utrera (Andalousie), Mari Peña est une descendante du mythique El Pinini, créateur d’une des plus grandes dynasties du flamenco. 

Elle est une des héritières les plus remarquables des figures tristement disparues du chant populaire féminin utrerano. Souvenir ineffaçable pour tout bon amateur. De forts souvenirs qui sont restés imprégnés dans le coeur des aficionados du chant populaire et de « Mairena del Alcor ».

Son répertoire classique comporte des soleás, seguiriyas, tientos (palo), cantiñas, bulerías, fandangos, etc. 

Elle collabore avec « El Lebrijano », Manuel de Paula, Inés Bacán, Antonio Canales, son mari Antonio Moya et se produit dans les plus grands festivals de flamenco en Espagne (Biennale de Séville, Potaje Gitano de Utrera, Gazpacho de Morón, Festival de Jerez, etc.) ainsi qu’en France (Festival de Mont-de-Marsan, Festival de Nîmes, Cité de la musique, en Allemagne, au Japon, aux Etats-Unis, etc…).

Cécile Evrot

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Pianiste de formation, sa rencontre avec le flamenco à quinze ans est une révélation. Elle s’oriente instinctivement vers le chant, qu’elle étudie d’abord en autodidacte pendant plusieurs années.

Elle se formera ensuite en Espagne auprès de José Mendez (Jerez) et Juan José Amador (Sevilla), et forgera son expérience de l’accompagnement du baile auprès de Carmen Ledesma et Pilar Montoya “La Faraona”.

Lors d’un séjour à Séville en 2014, elle fait la rencontre du mythique cantaor Juan Peña El Lebrijano qui deviendra son maestro et avec qui elle nouera une relation très forte qui nourrit encore aujourd’hui son approche du chant.

Artiste aux multiples visages (elle est également comédienne et compose ses propres chansons), Cécile Evrot travaille aujourd’hui aux côtés d’artistes reconnus de la scène flamenca française et européenne.

Elle enseigne par ailleurs au sein de plusieurs associations et propose une approche sensitive y décomplexée du cante, dans le plaisir et le respect des valeurs fondamentales du flamenco.
> Interview de Cécile Evrot par Phil FSH de La Vega le 3/02/2017 à Paris.

photo © Jessica Perron

Inés Bacán

Ine_s_Baca_n_-_1_-214x143-2.jpg Inés Bacán est née en Andalousie dans une dynastie gitane flamenca de longue tradition, celle des Peña de Lebrija, ou Pinini, du surnom de l’ancêtre chanteur. Si elle a attendu de longues années avant de chanter, elle y a gagné un pouvoir : celui de se faire entendre avant même d’ouvrir la bouche. Tout en pudeur et en intériorité, elle scelle d’emblée un pacte silencieux avec le public, qu’elle invite à une traversée vers un autre temps, celui de l’intériorité. Sa lenteur particulière, sa voix forte mais retenue, rencontrent naturellement la profondeur des siguiriyas et des soleas, les chants graves du cante jondo. Sans apprêts ni surenchère, elle touche le spectateur au plus juste, lui envoyant une sincérité à vif, modulant les mots jusqu’au sanglot, improvisant avec expertise sur les structures de base, ou jouant avec les silences qu’elle connaît aussi intimement que la musique.

Inés Bacán a grandi entourée de maîtres de chant, elle est l’arrière-petite-fille du légendaire Pinini, petite-nièce de la Perrata, nièce de Fernanda et Bernarda de Utrera, cousine d’El Lebrijano, soeur du défunt guitariste Pedro Bacán. Mais elle n’a commencé à chanter publiquement qu’à l’âge de 38 ans. “Dans ma famille, si tu ne chantais pas bien ou si tu n’étais pas gracieux, personne ne te prêtait la moindre attention. Et moi je n’étais pas gracieuse.” Pour cela, ou parce qu’elle considère le chant comme “une longue conversation avec moi-même, que parfois d’autres peuvent comprendre”, Inés se tait. Un soir de fête, après trente-huit années de silence, elle délivre un chant por solea qui laisse toute la famille stupéfaite. Le seul fait d’être né dans le flamenco ne suffit pas à faire de chacun un artiste. Il faut, selon les anciens, une sensibilité particulière et une intégrité rare pour être à même de transmettre.

Il faut aussi, ajoutait Pedro Bacán, cette part d’inquiétude créatrice, cette conscience du dépassement de soi, ce consentement à la solitude, si on ne veut pas simplement reproduire l’art qui vous a été légué mais le porter à d’autres envergures. Pressentant l’extraordinaire personnalité de cantaora de sa sœur, Pedro Bacán la révèle au public un soir de 1992 au festival d’Avignon, dans son spectacle Nuestra Historia al Sur. C’est le début d’une carrière atypique, fondée d’abord sur une complicité et une confiance fraternelle. En duo avec son frère ou avec la totalité de la compagnie du Clan gitan des Pinini, Inés accède aux grandes scènes internationales : l’Opéra Garnier (pour Paris quartier d’été), la Cour d’honneur du Palais des Papes à Avignon, la Biennale de flamenco de Séville…
En 1997, Pedro Bacán meurt dans un accident de voiture. On peut être veuf ou orphelin, mais il n’existe pas de mot pour qualifier celui ou celle qui a perdu un frère adoré… Inés rend hommage à Pedro en interprétant la Misa Flamenca qu’il avait créée quelques années plus tôt. Lourdement choquée, privée de son âme directrice, de son compositeur et leader artistique, la compagnie décide de se dissoudre.

Lancée par Pedro, la carrière d’Inés prend son envol. De Göteborg à New York, en passant par Casablanca, elle se produit dans des manifestations internationales majeures. Ses disques sont primés. On la trouve aux côtés des plus grands artistes de flamenco – notamment Israel Galván, qui la sollicite pour Tabula Rasa et El Final de este estado de cosas. Pourtant, elle continue d’incarner la parole contenue et explosive des plus silencieux, mélange de colère et de tendresse, de mélancolie et de feu, peut-être ce que Maeterlinck appelait “le trésor des humbles”. Une autre histoire de silence, qu’il racontait ainsi : “Si je vous parle en ce moment des choses les plus graves, de l’amour, de la mort ou de la destinée, je n’atteins pas la mort, l’amour ou le destin, et malgré mes efforts, il restera toujours entre nous une vérité qui n’est pas dite, qu’on n’a même pas l’idée de dire, et cependant cette vérité qui n’a pas eu de voix aura seule vécu un instant entre nous, et nous n’avons pas pu penser à autre chose. Cette vérité, c’est notre vérité sur la mort, le destin ou l’amour, et nous n’avons pu l’entrevoir qu’en silence.”

Photo ©René Robert 2014

Sources :
Paris Quartier d’Eté
Esprits nomades

Alicia Acuña

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Alicia Acuña est née à Séville et commence à chanter à l’âge de 14 ans dans les Peñas andalouses. Elle commence ses études par la danse flamenca avec plusieurs professeurs comme Matilde Coral, Manolo Marin, et poursuit par le chant flamenco à la Fondation Cristina Heeren de Séville auprès d’artistes prestigieux tels que Esperanza Fernández, José de la Tomasa, Naranjito de Triana, Calixto Sánchez, etc. Elle y acquiert des connaissances en chant mais aussi en danse et en logopédie (science qui étudie les troubles d’élocution et leur traitement).

En 1998, elle participe à la X Bienal de Arte Flamenco de Séville dans le cycle Sabor a Peñas.

En 2000, elle obtient le premier prix de chant flamenco de Valencina de la Concepción (Séville) au concours de chant flamenco de la peña cultural flamenca Genaro Marin Ruiz.

Depuis 2002, elle se produit en tant que chanteuse professionnelle avec plusieurs compagnies dans nombreux festivals de flamencos, fêtes privées, congrès, semaines culturelles, tournées en Hollande, Israël, Allemagne… pour accompagner au chant différents danseurs comme Asunción Pérez “Choni “, Rafael Campallo, Adela Campallo, Alejandro Granados, Rosario Toledo, Carmen Ledesma

Les spectacles auxquels elle a participé :

DON JUAN FLAMENCO, de la compagnie Rafael Campallo à la XIII Bienal de Arte Flamenco de Séville.

BULOS Y TANGUERIAS, grand spectacle de variétés flamencas (flamenco expérimental).

MALGAMA (Circontemporaneo y compas), Cia. Varuma Teatro, spectacle qui a obtenu nombreux prix comme le “Giraldillo innovation” à la XV Bienal de Arte Flamenco de Séville.

MULTAKA, spectacle de fusion entre flamenco et musique arabo-andalouse de l’orchestre Chekara de Tetuan. Cela a donné naissance à un disque — LA CHEKARA Y EL FLAMENCO — dans lequel elle côtoie des artistes tels que Enrique Morente.

Depuis 2002, elle se produit en tant que chanteuse professionnelle avec plusieurs compagnies dans nombreux festivals de flamencos, fêtes privées, congrès, semaines culturelles, tournées en Hollande, Israël, Allemagne… pour accompagner au chant différents danseurs comme Rafael Campallo, Adela Campallo, Alejandro Granados, Rosario Toledo, Carmen Ledesma… mais surtout, Asunción Pérez « Choni » dans tous les spectacles de Choni Cia flamenca depuis TEJIDOS AL TIEMPO (prix Giraldillo « révélation » Bienal de Arte Flamenco de Séville en 2008 à REENCUENTRO en 2015).

Alicia Acuña a participé au spectacle PASSION ARIA de Cécile Apsâra en 2005 et plusieurs fois, elle fut invitée aux RencontrAs FlamencAs (avec Choni en 2009, puis Carmen Ledesma en 2014).

Elle tourne actuellement dans de nombreuses villes d’Espagne et du monde entier avec Choni Cia flamenca, notamment avec LA GLORIA DE MI MARE ou encore MALGAMA 1.1 (cirque contemporain et flamenco) en collaboration avec la compagnie Varuma Teatro.
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Olayo Jimenez

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Formacion:

Escuela de Flamenco Amor de Dios (Madrid)

Comservatorio de Rotterdam (Holanda)

Fundacion Cristina Heeren (Sevilla)
Experiencias Personales
HISTORIA

Olayo Jimenez, nacio el 25 de Diciembre de 1963
en un pueblo de Teruel.

De una familia gitana de artistas y artesanos del norte de espana. Su Abuela (La Milia)comenzo a cantar de muy joven en teatros en Barcelona con su amiga la gran Carmen Amaya,Su famila, su madre y tios actuaban por la costa brava, formando un cuadro flamenco, en los 60 y 70, actuando en la sala flamenca el Relicario todos los veranos.

Olayo decidio ir a Madrid a estudiar baile flamenco en Amor de Dios, recibiendo clases como: La Tati, Manolete, Juan Ramirez..
Pronto se hizo popular por su simpatia y sus pataitas por Buleria!Trabajando en el Candelas como Camarero y aprendiendo de las mas grandes figuras del momento.

Pero la aficion del cante le viene de muy joven escuchando a su abuela. Hizo su debut en el Candela con el gran guitarrista Tomatito.

Olayo es un estudioso del cante Jondo y domina los palos Flamencos.

En 1990 trabajo en Holanda en conocidos teatros y televisiones locales y radios con grupos de flamenco especialmente con danza. Trabajo con Luis Neef producions con la Philamonica de Maastricht, participo con el prestigioso dirigente Ed Spanjaard junto con Amargos.

En 1992 empezo a trabajar en el comservatio en Rotterdam como profesor de iniciacion al cante flamenco y acompanamiento a la guitarra, colaboro con Paco Peña y Paco Serrano.

En 1995 tuvo su propio tablao en Holanda, concretamente en la ciudad de Delft, por donde pasaron diversos artistas.

Gano una Beca de estudios y en 1999 fue a Sevilla a la Fundacion Cristina Heeren, donde sus Maestros fueron Naranjito de Triana y Jose de La Tomasa.

Se especializo en Cantes como; Solea de Alcala, Seguirilla, Cantes de Triana, Martinetes Viejos de Triana…………….. Aunque su especialidad son los cantes con compas, puesto que su experiencia al baile le ayudado a dominar los ritmos.

Olayo, es un estudioso del cante y su interpretacion en un escenario y su gran voz personal, hace vibrar al publico con el sentimiento que le pone.

En 2002 fue contratado en Londres por un grupo Flamenco, actuando en teatros por todo el Reino Unido, junto con el cantaor Malena de Jerez y Mateo Solea.

Actuo en el Royal Albert Hall en el programa Save the Children!!
Compartiendo cartel con: Juaquin Grillo, Diego el Cigala, Dorantes y Cantores de Hispalis.

En 2003 al 2006 trabajo el bailaor Felipe de Algeciras con su compania Alma Flamenca, ubicada en Londres con guitarristas como Tito Heredia.

Actuo con el guitarrista Juan Martin y la Peña de Londres.

Ocasionalmente trabaja con el bailaor Sevillano Juan Polvillo y la Bailaora Pepa Molina.

En 2005 fue a Estonia con Alma Flamenca en combinacion/fusion con musica India (kathak) Anurekha Ghosh company,.. donde fue un gran exito en ese pais.

En 2006 trabajo como invitado en un projecto Fusion! Eclipse! Musica Mediaval Baroque.

Participo como cantaor en las peliculas (Dot the I) “El Punto Sobre La I”, Director Matthew Parkhill, con actores como; Natalia Berbeke y Gael Garcia Bernal Y “Los Ninos De San Judas”, del Director Aisling Wals.

Impartio cursillo del cante en Copenhage (Dinamarca) en la fundacion el Duende.

En el 2008 estuvo de gira 4 meses en Australia con la compañía Flamenco Fire, donde obtuvo grandes éxitos por todo el país.

Ese mismo año hizo una gira el mes de diciembre en Shangai y nanjing, China. Allí presentó su nuevo disco “Reloj de Arena”, que cosechó unas muy buenas críticas por parte de público y prensa.

En febrero de 2009 estuvo en Rennes, Bretaña francesa, con el grupo “Cabaret Flamenco”.

Actualmente reside en Catalunya e imparte workshops en London, Amsterdam y Copenhagen en calidad de Profesor.

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Olayo Jimenez

ABLAIN-web-214.jpgNé dans une famille d’artistes et artisans gitans du nord de l’Espagne, Olayo apprend d’abord de sa grand–mère La Milia qui chantait dans les théâtres de Barcelone avec la grande Carmen Amaya. Et sa mère et ses oncles se produisaient dans des Cuadro Flamenco sur la Costa Brava dans les années 60-70.

Dans les années 80, il fait ses études de danse à Amor de Dios à Madrid auprès des maîtres La Tati, Manolete, Juan Ramirez… Il devient vite connu pour ses “impros” au bar Candela fréquenté par les plus grands artistes (Enrique Morente, Ketama, Gerardo Nuñez, Paco de Lucia, etc.). Il débute le chant dans ce lieu mythique, accompagné à la guitare par Tomatito.
En 1999, il obtient une bourse pour étudier le chant à la Fondation Christina Heeren à Séville auprès de Naranjito de Triana et Jose de la Tomasa.

Il débute sa carrière de chanteur en Hollande en 1990, dans les principaux théâtres, radios et télévisions en particulier avec les productions Luis Neef avec la Philarmonique de Maastricht, sous la direction d’Ed Spanjaard et avec Amargos.

En 1992, il est professeur d’initiation au chant flamenco et accompagnement à la guitare au conservatoire de Rotterdam en collaboration avec Paco Peña et Paco Serrano.

En 2002, il est engagé à Londres dans le groupe Flamenco avec lequel il se produit dans tout le Royaume-Uni, au côté des chanteurs Malena de Jerez et Mateo Solea.

Il chante au Royal Albert Hall dans le programme SAVE THE CHILDREN! et partage l’affiche avec Joaquin Grillo, Diego el Cigala, Dorantes et Cantores de Hispalis.

De 2003 à 2006, il travaille avec la compagnie Alma Flamenca du danseur Felipe de Algeciras, basée à Londres avec le guitariste Tito Heredia. Avec cette compagnie, il part en Estonie en 2005 où il participe à un spectacle de fusion entre flamenco et musique indienne (danse Kathak) avec Anurekha Ghosh company.

Il chante occasionnellement avec le danseur sévillan Juan Polvillo et la danseuse Pepa Molina.

Il travaille comme artiste invité dans le projet de fusion ECLIPSE! avec la musique médiévale baroque.

Il chante aussi dans les films LE POINT SUR LE I de Matthew Parkhill et LES ENFANTS DE SAN JUDAS de Aisling Wals.

En 2008, il fait une tournée en Australie avec la Compagnie Flamenco Fire où il obtient un grand succès.

La même année, il chante à Shangai et Nanjing en Chine où il présente son nouveau disque RELOJ DE ARENA et recueille de très bonnes critiques de la part du public et de la presse.

Il rejoint la Compagnie Apsâra en 2009 dans CABARET FLAMENCO, à la Chambre aux Loups à Iffendic (35) et à la Hallouvry à Chantepie (35).

Il est professeur de chant flamenco dans des stages, notamment à Copenhague au Danemark à la Fondation El Duende, ainsi qu’à Londres ou à Amsterdam.

Olayo est spécialiste du Cante Jondo (chant profond) et domine les styles du flamenco tels Soleá de Alcalá, Siguiriya, Cantes de Triana, Martinetes Viejos de Triana… Mais il excelle particulièrement dans le “chant pour la danse” car son expérience de danseur lui donne une grande maîtrise du rythme.
Son interprétation sur scène et sa voix très personnelle fait vibrer le public grâce aux sentiments transmis avec beaucoup de générosité.

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Blas Deleria

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Jeune chanteur de Marseille, issue d’une famille gitane, il est imprégné par le flamenco dès sa plus tendre enfance. C’est à cette école « naturelle », auprès de son père Diego Deleria, qu’il découvre le chant. De lui, il apprendra tous les styles du cante flamenco. Son cousin Fraco Santiago, grand guitariste, l’aidera à approfondir son savoir-faire.

Il se spécialise dans le « chant pour la danse » et débute sa carrière très tôt en 1995. Il se produit dans tous les tablaos de sa région et accompagne les danseuses comme la Rubia, Isabel Gasquez, Maria Perez…

Il participe à des créations telles que : LA BUENA AVENTURA avec Fraco Santiago, ASI ES LA VIDA avec la Rubia, TANGOS et UNA Y OTRA VEZ avec Isabel Gasquez, HABIYERAR et NAVEGANDO POR EL TIEMPO avec Manolo Santiago, DE BRONCE Y ENCAJE et SIGLO DE ORO con Pepe de Nieves.

Il chante aussi dans de nombreux festivals comme celui de Mont de Marsan, de Gorbio, de Planète Andalucia et de Flamenco en France à Paris, de Tienta del Sur à Arcachon, de Béziers, Nimes, Maugio…

Il s’est produit en première partie des artistes Montse Cortès, Guadiana, Luis el Zambo et participe en 2005 à l’enregistrement du disque REFLEJO FLAMENCO de Pepe Linares.

Il rejoint la Compagnie Apsâra en 2009 dans CABARET FLAMENCO.

Sa jeunesse et ses origines gitanes font de lui un artiste émouvant, authentique, à la voix chaleureuse.

Beni Medina

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Né à La Havane, Beni Medina joue de la guitare et chante depuis son plus jeune âge dans les fêtes populaires et les clubs à danser de son pays. Il étudie la guitare avec Alejandro Frometa et le chant avec Marta Gutierez au conservatoire pour musiciens professionnels. Compositeur pour la radio et la télévision cubaine, fondateur et directeur du groupe Sismo en 2000, il a participé comme acteur dans le film musical Habana Blues de Benito Zambrano. (Prix du public Festival de Cannes 2005).
Il propose les compositions des plus grands maîtres de la tradition cubaine qu’il exalte par la force de sa voix et la jeunesse de son interprétation.

Melchior Campos : "Mencho"

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“Mencho” est issu de la célèbre familia Montoya , une des plus hautes dynasties du flamenco gitan de Séville. Il apprend le chant et la guitare dès son plus jeune âge encouragé par sa mère, chanteuse et son père guitariste. Il commence une carrière professionnelle à l’âge de 17 ans avec le groupe Canastero au Festival de musique Tzigane de Lucerne (Suisse) au côté des guitaristes tels que Moraito Chico et Niño Josele et de la chanteuse La Macanita. En 1999 il participe à l’enregistrement du disque Alma de son cousin José el Francés avec Vicente Amigo et Niña Pastori. Depuis, il partage l’affiche avec de grands noms de la scène internationale comme Ishtar du groupe Alabina, Chico Castillo, Omar Bashir, Daniel Manzanas ou encore Juan Carmona. Entre 2003 et 2005, Melchior Campos se produit dans les spectacles Instante Flamenco et Barrio Flamenco aux cotés de Cristo Cortés, El Kuele, Manuel Gutierrez, Sharon Sultan et José Cortés. Il travaille également avec des danseurs de renoms comme Andrés Peña, Rafael de Carmen, Ana la China, Jorge Santelmo…En 2004, il rencontre la danseuse et chanteuse Karen Ruimy avec laquelle il se produiradans les spectacles «Flamen’ka» et «Flamen’ka Nueva» à l’espace Pierre Cardin en 2006, au Casino de Paris en janvier 2008 et enfin aux Folies Bergères en mai 2008. Il enregistrera aussi deux albums. En 2007, il participe à la soirée caritative organisée par l’association Playing for good de Maria Bravo.

Il s’est produit à Rennes dans le spectacle A COMPAS DEL CORAZON à la Péniche Spectacle (2007 et 2008). APSÂRA Flamenco a organisé plusieurs stages avec lui à Rennes, Brest ou St Brieuc.

Il accompagne Cécile Apsâra depuis 2002 dans plusieurs spectacles dont CABARET FLAMENCO.

Sa voix typiquement gitane, douée d’autant de puissance que de nuance et son étonnante tessiture, sert à merveille son interprétation très généreuse et très inspirée de Camarón de la Isla.

La Conchi

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Conchi Menéndez est arrivée à Paris en 1960. Chanteuse flamenca dans la plus pure tradition, elle se produit en duo avec plusieurs guitaristes dans des récitals de cante jondo. Elle accompagne cours et stages de chants et de guitare et beaucoup d’entre vous l’on déjà vue à Rennes ou à Paris.
“Une voix claire et puissante, pleine d’émotion. Elle nous rappelle une époque sombre, qui va de l’après guerre espagnole jusqu’aux années 70, où la lumière du flamenco à généré plusieurs vagues tumultueuses de chanteurs et chanteuses, qui ont placé le Flamenco, aux yeux du monde, comme un art incontestable.” Le Triton

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