Pedro PATILLA (Pedro Viscomi Martin)

Caroline_ABLAIN_web-214.jpg Né à Zurich (CH) en 1977, de père italien et de mère andalouse (Huelva), il hérite du flamenco de son grand-père, grand aficionado et directeur de la Peña de son village natal.

Il prend ses premiers cours de guitare avec son père, puis avec Agustín de la Fuente (Jerez de la Frontera) qui l’engage dès l’âge de 14 ans en tant que deuxième guitariste pour accompagner divers galas de danse en Suisse, Allemagne, France et Italie.

Il a étudié la guitare, entre autres, avec Gerardo Núñez, Paco Serrano, Claudio Mermoud, Rafael Trenas, El Entri, El Viejin, Niño de Pura, Paco Cortes, Eduardo Rebollar, Pedro Sierra…

Il a aussi travaillé avec plusieurs groupes de flamenco-fusion (World-Music) ce qui lui offre la possibilité d’enrichir ses connaissances dans le domaine du jazz ou de la musique ethnique. Il a joué sur la scène internationale de l’Andalousie au Mexique.

Dernièrement, il s’est produit au tablao Alvarez Quintero à Séville où il a accompagné des artistes tels que : Jesús Corbacho, Francisco Contreras “Niño de Elche”, Olayo Jiménez, Alicia Acuña, Antonio Arrebola, Silvia de Paz, Lola Jaramillo, María Canea, Manuel Romero, Lucia Álvarez „La Piñona“, El Trini, Ursula Moreno, Elena Vicini, Isabel Amaya, Francisco Espinosa…

Felipe de Algeciras

Felipe_web_214x143.jpgNé à Algeciras en Espagne, Felipe commence à danser dès l’âge de 13 ans. Il étudie au Conservatoire de Algeciras et de Malaga. A 16 ans, il commence à travailler avec Flamenco Sonakay. Deux années plus tard, il fait déjà partie du prestigieux groupe Flamenco Solea avec lequel il va travailler pour de nombreux festivals en Andalousie.

Il arrive à Londres pour la première fois en 1991 où il commence à jouer dans le West End de Londres SHOW THEATRE. Deux ans après, il travaille comme premier danseur dans le célèbre et unique Tablao de tout le pays : Costa Dorada.

Poursuivant ce parcours, il travaille alors pour le Sadler’s Wells Theatre à La Chambre des Députés. On pourra également le voir au sein de l’Opéra National d’Angleterre au Colisée de Londres. Grâce à sa longue carrière dans ce pays, il aura la chance de danser pour la Princesse Diane de Galles et la Princesse Marguerite.

Felipe DE ALGECIRAS est reconnu pour la puissance et la force de sa frappe de pied. Il a travaillé dans le film LE MASQUE DE ZORRO avec Antonio Banderas et Catherine Zetta Jones. Son dernier film, fut DOT THE I DONDE dans lequel il travaillait comme chorégraphe avec Natalia Berbeke et Gael Garcia Bernal.

En 2002, Felipe décide de fonder sa propre compagnie ALMA FLAMENCA avec laquelle il remporte un succès dans tout le Royaume Uni et en Europe. Il travaille en effet dans de prestigieux théâtre comme l’Opéra Royal où il partage l’affiche avec El Cigala et bien d’autres artistes célèbres.

En 2009, après sa carrière au Royaume Uni, Felipe retourne à sa terre natale Algeciras où il ouvre son studio et école de danse.

Aujourd’hui, Felipe DE ALGECIRAS mène son propre show à la Costa Dorada, enseigne le flamenco de l’initiation au Master Class à Londres mais aussi à Glasgow, Belfast, Dublin, Amsterdam, Copenhague… 

crédit photo Caroline Ablain


Extraits et revue de presse

Contact :


tél : 02 99 53 18 83

courriel > apsara.flamenco@free.fr


> Télécharger la revue de presse complète


Presse audiovisuelle :

 12/13 France 3 sur les 9è RencontrAs FlamencAs, mardi 10 février 2015 > à voir en podcast (à 9mn environ)

http://dl.francetelevisions.com.ipercast.net/xml/rennes_midipile.xml

 Cécile Apsâra, l’invitée de Christine Zazial dans les Brétiliennes, TV Rennes, 28 janvier 2015 :

Presse sur l’internet :

 La flamme andalouse par Jean-François de Picaut, sur les 9è RencontrAs FlamencAs, février 2015 > Les Trois Coups.com

 Edition Ritmos Latinos sur Médiapart, 11 janvier 2015 > http://blogs.mediapart.fr/edition/ritmos-latinos/article/110115/9e-rencontras-flamencas

 Celle qui cadre son esprit sauvage et libre par Marine Combes > YEGG magazine, mai 2014


Vous trouverez ci-dessous une sélection d’extraits de presse :

“Un regard de braise campé sur un port volontaire, Cécile Apsâra est gitane par passion et sévillane par essence. Elle est aussi porte-flambeau de la jeune génération flamenca !”

Christine Barbedet – Le Rennais, décembre 2000.

“Le Flamenco de Cécile Apsâra
S’il est une artiste étonnante à plus d’un titre, c’est bien Cécile Apsâra. Danseuse, chorégraphe, metteur-en-scène, professeur, elle a une carrière atypique marquée par une curiosité et une passion peu communes. (…)”

Sylvia Chaban – Danse Conservatoire n°126 – février 2000

“DON JUAN FLAMENCO : la force de Cécile Apsâra

Lumières tamisées. Deux chaises devant un paravent. L’une pour le guitariste. L’autre pour le chanteur. C’est ce décor intimiste de cabaret que Cécile Apsâra a choisi pour sa dernière création, présentée à guichet fermés au Triangle.
Une ambiance épurée pour laisser éclater la présence de la danseuse de Flamenco qui se glisse tour à tour dans la peau des femmes de Don Juan. (…)
Dans chacun de ces personnages, Cécile Apsâra laisse éclater son art se donnant sans compter.”

Janik Le Caïnec – Ouest-France – 26 novembre 2002

“Cécile Apsâra : tout feu, tout flamenco
Elle est la chorégraphe du spectacle Racines vagabondes
“Je suis sevillane, adoptée par les gitans ”La phrase claque comme un talon sur le parquet. Brune aux yeux sombres, habillée de noir, on la croit volontiers. Et pourtant Cécile Apsâra est née en région parisienne (…)”

Raymond Paulet – Ouest-France – 13 septembre 2001
 

“(…) tandis que la danseuse de flamenco, Cécile Apsâra et la danseuse indienne, Claire Gallard, se mesurent jusqu’à l’unisson. L’embrasement survient avec un solo de zapateado (danse des pieds) qui fait monter la température et rappelle que le  flamenco n’est pas loin de la transe maitrisée.”
Raymond Paulet – Ouest-France – 18 septembre 2001
 

“Le Flamenco de Cécile Apsâra
S’il est une artiste étonnante à plus d’un titre, c’est bien Cécile Apsâra. Danseuse, chorégraphe, metteur-en-scène, professeur, elle a une carrière atypique marquée par une curiosité et une passion peu communes. (…)”
Sylvia Chaban – Danse Conservatoire n°126 – février 2000
 

“Le flamenco passion de Cécile Apsâra
 (…) Cécile Apsâra, grave et belle dans sa robe andalouse, offrait les premiers pas d’une danse flamenco, puissante et passionnée. La jupe, à pois clairs, s’envolait, les pieds, nerveusement, foulaient le sol, les talons marquaient le rythme, les doigts dessinaient de légères arabesques, au-dessus d’un bras gracieusement tendu. La taille, les hanches, le corps tout entier, entonnaient, tel un rituel, une puissante transe.
La guitare se faisait sèche, le chant presque impatient, la danseuse jouait l’arrogance, la séduction, le charme, avec dans le geste dans le regard, dans le corps, un rien d’orgueil, de violence, de mystère, d’inquiétude. (…)”
Eliane Faucont Dumont – Le Télégramme – novembre 99
 

“Le flamenco fait recette à Quimper
Le flamenco a des origines qui se perdent dans la nuit des temps mais qui ont été définies et structurées très récemment. A la fois moderne et ancien, il sait s’évader hors de la scène et se pratique aussi dans les fêtes comme les danses bretonnes. (…)”
Michelle Senant – Ouest-France – novembre 99
 

“Cécile Apsâra est l’inventive figure de proue de la jeune génération flamenca”
Philippe Catrice – Midi Libre 9 août 99
 

“Quimper à l’heure andalouse
(…) A eux trois, ils ont proposé vendredi soir, un spectacle coloré et chaleureux avec une danseuse qui savait se faire séductrice, féline, parfois violente, parfois douce. (…)”
Michelle Senant – Ouest-France – 15 juillet 98
 

A propos de ¿FLAMENCO? conférence-dansée multimédia.

« La conférence est venue apporter les éléments d’une introduction au Flamenco (…). Il s’agit d’un texte concis diffusé en «voix off», illustré musicalement et graphiquement en vue d’une diffusion à l’écran (…). L’intervention physique de Cécile Apsâra à des moments-clés y est déterminante pour rendre au Flamenco son corps vivant et dansant (…) »

« APSÂRA FLAMENCO s’est encore fortement investie pour offrir au public de Rennes une approche du Flamenco originale.»

« Sous le signe de la simplicité et de la sincérité, une journée réussie, une initiative originale récompensée par le succès et la gratitude du public, preuve qu’une intention didactique mené avec tact peut-être la bienvenue.»
Extrait de FLAMENCO Magazine n°3, 2005.


José Luis Ortiz Nuevo

Docteur en sciences politiques, Jose-Luiz Ortiz Nuevo est le fondateur de la célèbre Biennale de flamenco de Séville qu’il dirigea pendant 15 ans. Il coordonne l’équipe de rédaction de la Mémoire pour la déclaration du flamenco comme Patrimoine Oral de l’Humanité. Il dirige aussi de nombreux ateliers et cours sur le flamenco. Il est actuellement conseiller au Museo del Baile de Cristina Hoyos à Séville.
Son œuvre littéraire très étendue regroupe essais, poésies, biographies et notamment La rabia del placer o el Tango que vino de La Habana (1999) (La rage du plaisir ou le Tango qui vient de la Havane).
Il est aussi auteur de publications collectives dont Acariciando a Cádiz y a La Habana. En La Factoría (2000) (En caressant Cadix et La Havane) et Huellas de lo andaluz en teatros y otros espacios públicos de La Habana en la primera mitad del siglo XIX. En Cuba y Andalucía entre las dos orillas (2002)(Empreintes des andalous dans les théâtres et autres espaces publics de La Havane dans la première moitié du XIX siècle.)
Il réalise nombreux travaux pour la presse, radio et télévision, comme “Una llama viva” (« Une Flamme vivante ») à Canal Sur TV et il compose les scénarios et dirige d’importantes œuvres pour la scène.
Il donne des conférences dans le monde entier.

Bibliographie :

_Pepe el de la Matrona: Recuerdos de un cantaor sevillano (1975)
_Las mil y una historias de Pericón de Cádiz (1975)
_II Pregón de la Hiniesta Coronada (1980)
_Libro de las Fiestas (1981)
_Tío Gregorio Borrico de Jerez: Recuerdos de infancia y juventud (1984)
_De las danzas y andanzas de Enrique el Cojo (1984)
_Pensamiento político en el cante flamenco (1985)
_Tía Anica la Periñaca: Yo tenía mu güena estrella (1987)
Antonio Mairena: Veinticinco aniversario del concurso III Llave de Oro del Cante (1987)
_77 Seguiriyas de muerte (1988)
_Guía de lo oculto y lo resplandeciente: La Feria de Sevilla (1990)
_¿Se sabe algo? El flamenco en la prensa sevillana del siglo XIX (1990)
_A su paso por Sevilla (1996)
_Alegato contra la pureza (1996)
_¿Quién me presta una escalera? (1997)
_Mi gustar flamenco very good (1998)
_La rabia del placer o el Tango que vino de La Habana (1999)
_En 1925 hubo en Sevilla un concurso de cante flamenco (2000)
_Coplas Flamencas del siglo XX (2001)
_Érase una vez una ciudad… (2004)
_Ritos de Júbilo (2005)

Oeuvres collectives :

_Manuel Balmaseda, obrero y poeta. Prólogo de Primer Cancionero Flamenco, de Manuel Balmaseda (1973)
_El mundo flamenco en la obra de los hermanos Manuel y Antonio Machado. En Cuadernos Hispanoamericanos (1975)
_Descripción del Espectáculo. En Quejío Informe (1975)
_De lo verdadero y de lo falso. Prólogo a Coplas de la Emigración, de Andrés Ruiz (1976)
_Noticia del Arte Flamenco. En Andalucía (1986),
_Pregón de la Velá de Triana de 1979. En Los Pregones en el Hotel Triana (1986)
_El año flamenco de 1887 y Recuerdos de Enrique Morente. En Aurelio – Bernardo – Matrona: Cien años hace que nacieron (1987)
_Entre italiano y flamenco. En Silverio Franconetti. 100 años de que murió y aún vive (1989)
_La nueva escenografía y su influencia en el Flamenco. En Ponencias y Comunicaciones del XVII Congreso Nacional de Actividades Flamencas (1989)
_Mece la brisa aires de templanza. En Sevilla Universal (1992)
_En trance de llorar por seguiriyas. En A Camarón (1992)
_Pregón de la Caseta de Chicuelo 13 de 1986. En Los Pregones de Feria de Chicuelo 13 (1992)
_Varios capítulos de Historia del Flamenco, edición de José Luis Navarro y Miguel Ropero (1995)
_Los Cafés Cantantes. En Los Espacios de la Sociabilidad Sevillana (1998)
_Ni lo tuyo ni lo suyo ni lo mío ni tampoco lo de nadie. En Caprichos: La Danza a través de un prisma (1998)
_Acariciando a Cádiz y a La Habana. En La Factoría (2000)
_Crónica de diez ensoñaciones. En Teatro de la Maestranza. (2001)
_Huellas de lo andaluz en teatros y otros espacios públicos de La Habana en la primera mitad del siglo XIX. En Cuba y Andalucía entre las dos orillas (2002)
_El universo infinito de los bailes. Prólogo a De Telethusa a la Macarrona, de José Luis Navarro (2002)
_Un cielo de verano y Coplas para un Ángelus bailable. En Antología Viva: Flor Vieja de Coplas Nuevas, de Antonio Zoido; en Demófilo (2003)
_Velá de Santa Ana : Quince instantáneas de su historia juegan y bailan con otras quince fotografías suyas. En Historia Gráfica de las Fiestas de Sevilla (2003)
_Por la tierna dulcedumbre de su voz : Rastros de Pastora en la Prensa de su tiempo. En La Niña de los Peines, Patrimonio de Andalucía (2004)
_Los Flamencos no leen o ¿De qué sirve escribir? En Música Oral del Sur (2005)

Scénarios, œuvres pour la scènes :

_Los últimos de la fiesta (1987)
_Danza de amor y luna (1989)
_Mediterraneo (1992)
_Cuatro voces de Lebrija (2004)

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